APPORTEZ VOS SITUATIONS CLINIQUES EN FORMATION

Dans ses formations, l’Institut Motricité Cérébrale a toujours associé des temps de pratique à des temps plus théoriques, en appuyant son enseignement sur des cas cliniques apportés les formateurs et par les participants eux-mêmes, présentés sous forme de vidéos et de photos.

Ces cas cliniques permettent d’illustrer le thème de la formation et apportent des sujets de réflexion travaillés en groupe en vue de l’élaboration de pistes de travail.
Ce travail à partir de la pratique de chacun n’est pas une évaluation de vos compétences, mais un outil pédagogique permettant l’amélioration des savoir-faire professionnels. De ce point de vue, il est essentiel au processus de formation. C’est la raison pour laquelle nous demandons à chaque participant d’apporter des images de sa pratique professionnelle, aussi bien dans les formations individuelles que dans les formations en « intra ».

Le document vidéo demandé vise à présenter un patient et la problématique inhérente à sa pathologie autour du thème de la formation retenue. Il est donc nécessaire que les images montrent le patient :

  • Dans différentes situations fonctionnelles du quotidien : spontanément sur le tapis, dans les déplacements, assis, en activité à table, …
  • En situation d’évaluation clinique effectuée par le participant lui-même, et éventuellement avec d’autres professionnels : épreuves actives, évaluation passive et orthopédique aspects sensoriels… en lien avec les questions que vous vous posez sur le niveau fonctionnel de l’enfant et sa manière de bouger.

 

Il conviendra de compléter ces vidéos par quelques informations générales :

  • Âge, étiologie, niveau fonctionnel, notion de progrès ou de plafond, objectifs généraux dans les différentes prises en charge …
  • Éléments de dossiers utiles à la présentation et la réflexion.

 

Au plan technique, il n’est pas nécessaire d’avoir des vidéos en très haute résolution, une qualité smartphone est suffisante. Par contre, la qualité de la prise de vue est essentielle. La personne filmant veillera donc à ne pas être en contre-jour, ne pas bouger, et à prendre des plans les plus rapprochés possibles.
Pour faciliter le visionnage, vous veillerez à transposer ces séquences filmées sur une clef USB ou disque dur externe.
La durée de ces vidéos n’a pas d’importance, quelques minutes peuvent constituer une illustration pertinente de questionnements, des situations, etc…

 

Nous sommes conscients qu’il peut être difficile pour certains professionnels de se voir et se montrer sur des films. Cependant, l’objet de ces images n’est pas de critiquer les personnes mais de construire une pratique à partir de leur propre expérience : les règles de bienveillance et d’absence de jugement sont respectées par l’ensemble du groupe.

Les professionnels en formation et le formateur sont bien évidemment tenus au secret professionnel. Les vidéos restent la propriété de chacun des participants. Enfin, il est nécessaire d’avoir une autorisation écrite de prise d’images, précisant l’étendue de la diffusion.

 

 

Imprimer E-mail